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Portrait de notre conseiller Benoit CAVOLEAU
Benoit Cavoleau

Portrait de notre conseiller Benoit CAVOLEAU

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Conseiller immobilier mais surtout commerçant fidèle et fiable

Pas besoin de l’observer longtemps pour comprendre que Benoît n’aime pas perdre son temps. Ses mots, eux-mêmes, semblent vouloir sortir plus rapidement les uns que les autres. Mais cela n’ôte rien à sa sympathie : le conseiller immobilier inspire une confiance immédiate. Il émane de lui une joie franche et familière.

S’adresser à lui, c’est aussi l’assurance que cela va avancer... et vite.

Benoît est arrivé dans le métier par hasard. Il a franchi les portes de l’agence il y a maintenant quinze ans et il n’est jamais parti, preuve qu’il ne s’ennuie pas ici. Auparavant, le négociateur était caviste. Avant cela, des études d’hôtellerie restauration et une mention sommellerie qui le conduit à travailler pour de luxueux établissements. Il poursuit comme gérant d’un cave à vin, puis d’une deuxième, jusqu’à sa fermeture décidée par la franchise. Parmi ses clients, un agent immobilier avec qui il discute. « Tiens, tu ne voudrais pas changer de métier ? » S’en suivit une présentation de la profession dans les moindres détails : autour d’un café, il découvre un à un les avantages et les inconvénients d’un métier inconnu. Un tableau honnête et contrasté qui le conduit jusqu’à la porte de l’agence. « Je suis venu ici à vélo, au mois de décembre ; il faisait 7° ; dans le bureau de Monsieur Fortier, j’ai passé mon premier entretien. » Un entretien plus tard, le voilà promu conseiller en vente. Pile à sa place. « Aussi simple que ça » sourit-il.

Pourvu d’une grande sensibilité pour l’humain et le commerce, Benoît veut avant tout être un « commerçant » comme il le dit. Une personne qui saura écouter le besoin de son client pour le conseiller, l’aiguiller, mais aussi sympathiser. Impossible de vendre à tours de bras ! Pour vendre il faut conseiller et pour conseiller, il faut connaître. Exactement comme un boulanger qui sourit et salue les habitués qui franchissent le seuil de sa boutique. Alors, de la même manière qu’il écoutait ses clients pour extirper ensuite LA bonne bouteille de son carton, Benoît vend maintenant des maisons et des appartements.

Benoît se refuse à être un « commercial » c’est-à-dire une personne qui vend le produit qu’elle a à vendre et qui se garde de dispenser un conseil. Le commerçant, lui, cherche l’adéquation. Il veut créer un lien durable, susciter un échange. Il s’approche pour appréhender le projet dans toutes ses dimensions. Il s’efforce d’accorder avec souplesse un budget et une envie, un projet et un secteur, un bien et une histoire… Tant de variables humaines et techniques, marchandes et subjectives qu’il faut concilier au mieux.

Caviste, il aimait son produit. Un produit riche et complexe, mêlant l’histoire, la géographie, le terroir, les visages… Des dimensions semblables à celles qui composent un projet immobilier. Des personnes et des envies. À partir de cela, réaliser leur rêve ! Une idée qui lui semble absolument fantastique.

Un goût prononcé pour le relationnel et le terrain. Ne vous avisez pas de l’enfermer dans un bureau : il dépérirait. Regard vif et jovial, Benoît guette les occasions de se réjouir. Il accueille comme une belle récompense l’invitation d’une famille récemment installée à découvrir l’aménagement de sa nouvelle maison. La réunion des différentes parties, sourire aux lèvres autour de la table, pour signer le compromis, est un autre motif de réjouissance. La joie, encore, lorsqu’il revoit bien des années plus tard, certains de ses clients ou leurs enfants. Les mêmes qui ouvraient les portes des chambres en criant : « Je vais prendre celle-ci. – Et moi celle-là ! » « Et lorsque les gens reviennent, cela veut dire qu’on a créé un lien » explique Benoît, le regard pétillant. Un lien de confiance qui traverse le temps et les générations. Une reconnaissance qui surpasse tous les prix de vente.

Pour vendre, il faut conseiller et pour conseiller, il faut connaître. Le commerçant cherche l’adéquation.

Benoît apprécie les infinies nuances de son métier. Pas une situation semblable à une autre, pas un bien similaire, pas une vente qui ne se ressemble. Énergique, il aborde chaque nouveau projet avec une enthousiasme renouvelé. Quinze ans de boutique et pas la moindre trace d’une morne routine.

Lorsque le marché ressemble plus à une mer d’huile qu’à un océan déchaîné, Benoît ne se laisse pas abattre. Il faut alors revenir aux fondamentaux : se retrousser les manches et partir à la recherche des biens à vendre, fussent-ils peu nombreux. Toquer aux portes, échanger au coin d’une rue, prendre un café chez l’un ou l’autre commerçant de son secteur. Un agent immobilier se doit de connaître les visages qui arpentent les rues de son quartier et pour cela, Benoît ne se fait pas prier. Il aime le contact et si sa présence sur le seuil pourrait paraître intrusive, il trouve toujours le mot juste pour alléger le ton et décrocher un sourire.

Benoît aime le lien particulier qu’il construit avec ses clients. « Ils nous dévoilent toute leur vie. On sait tout, parfois trop » ajoute-t-il, regard limpide et droit. Cela requiert une grande écoute. Beaucoup de discrétion aussi. Les mariages, les naissances, les séparations ou les décès : les situations sont variées. Un contexte à démêler, en empruntant parfois des détours. Discuter et créer un lien avant toute chose. Mercredi dernier, c’était un apiculteur. Benoît, qui ignore tout des abeilles, questionne. Le propriétaire explique, le fonctionnement d’une ruche et déroule finalement le contexte de la vente. Bien moins intrusif et bien plus intéressant. Son métier consiste à conseiller. Il ne sait pas comment le dire autrement. Mettre en parallèle un vendeur et un acheteur afin de trouver une solution pour les deux parties. Derrière la vente se cache aussi la question du prix, une méthodologie précise, des démarches complexes et des délais rythmés. Autant de mécanismes obscurs pour les propriétaires. Ils font appel à un professionnel pour que la transaction soit encadrée. Vendeurs et acquéreurs attendent un accompagnement complet. Benoît leur assure, avec un sourire en coin : « Vous allez me traîner comme un boulet de la mise en vente à la signature chez le notaire. Je ne vous lâche pas. » Il reste là, même après ! Pour Benoît, un conseiller immobilier est un interlocuteur fidèle. Il se doit d’être là pour des personnes qui lui ont confié leur bien ou leurs économies.

Le concret du métier : signer un compromis entre les parties réunies autour de la table. Toutes les autres tâches sont orientées vers cet objectif, explique l’homme appliqué qui s’efforce de dépasser cette nécessité. Offrir plus : une lettre personnalisée pour un anniversaire, un appel pour prendre des nou- velles, le temps qu’il faut pour résoudre la moindre difficulté. Lorsque le travail est effectué jusqu’au bout, le client s’en rend compte. Il ne revient pour rien d’autre que pour tous les « plus » dont il a bénéficié et pour la gratuité de la relation. Benoît est particulièrement attaché à cette gratuité essentielle. Il aime faire plaisir et, lorsque cette attention est remarquée, « ça veut dire que j’ai bien fait mon boulot ». Une générosité qui inspire la fidélité.

Pour être honnête, le métier prend parfois des allures de châtiment de Sisyphe. Il faut constamment recommencer. Ce n’est pas toujours évident, surtout lorsque tout ne fonctionne pas comme il le voudrait. Benoît se remet alors en question… Il a choisi d’accepter les hauts et les bas en gardant à l’esprit qu’au fond « ce métier, il est simplement génial ». Maussade s’il reste derrière un bureau ou enfermé dans une pièce, Benoît s’anime lorsqu’il est en relation : il aime découvrir des horizons, des milieux et des histoires variées. « C’est enrichissant pour tout le monde » s’exclame celui qui a conscience que son rôle est crucial : entre ses mains des projets de vie qu’il lui appartient de faire aboutir.

Le métier de conseiller immobilier est très ambivalent : des périodes d’euphories et des creux, des jours maussades et d’autres marqués par de belles victoires. Aller en prospection lorsqu’il fait froid ou qu’il pleut… Pas très agréable mais il faut y aller. Benoît est endurant et opiniâtre – têtu aussi et, parfois, de mauvaise foi avec ses collègues, reconnaît-il. Mais jamais avec le client. Dans son métier, la transparence est essentielle. Mauvais perdant, il se donne énergiquement pour gagner – autrement dit, concrétiser un projet de vie et se réjouir avec le client. Toujours franc, il ne supporte pas le baratin, ni la malhonnêteté.

Lorsqu’il s’agit de se décrire, notre remuant conseiller perd un peu de sa verve. Il ne se définit pas comme un efficace et reconnaît que son travail reste trop souvent tributaire de sa motivation. Une chose est pourtant certaine, Benoît n’aime pas que ça traine. Il rentre satisfait s’il ne laisse rien derrière lui et qu’il n’a pas perdu son temps. Il y a toujours quelque chose à faire. Pas question de regarder les aiguilles tourner ! Benoît est entier, franc et sa nature n’aime pas le vide, encore moins l’ennui. Homme de terrain, il préfère être occupé – jusqu’à ne plus avoir le temps de déjeuner – plutôt que de brasser de l’air. « On ne fait pas un métier de commerce et de contact pour regarder le temps passer. »

S’il aime tant son métier, c’est aussi grâce à une équipe soudée, qui a su le soutenir dans ses moments de découragement. Des personnalités variées et des caractères très complémentaires qui fonctionnent parfaitement ensemble. Une équipe enjouée et autodidacte, dégourdie et spontanée. Une fraternité qui consiste à se dire les choses franchement et à s’épauler. Les services sont rendus de gaîté de cœur. À charge de revanche, c’est tout. Des échanges sains et gratuits, « dont nous avons besoin » répète Benoît qui salue également l’engagement d’un patron impliqué, constamment présent sur le terrain et soucieux de redistribuer généreusement les bénéfices à toute l’équipe. Une reconnaissance précieuse et touchante.

Benoît fait confiance au hasard qui l’a conduit jusqu’ici. Pourquoi ne pas devenir « brocanteur-caviste-vide-maison » ? Une idée saugrenue qui se réalisera peut-être un jour. Une certitude demeure : l’humain est essentiel. Finalement, ce qui importe, ce n’est pas de vendre une maison. Son cœur de métier ce sont les personnes. Il le martèle d’un ton sincère.

Une ambiance conviviale, une équipe solidaire, un management compréhensif et une confiance réciproque qui rendent ses journées épanouissantes et allègres. Des journées dissemblables et un rythme qui s’affranchit de toute routine : partir poser des panneaux, croiser quelqu’un au hasard d’une rue, prendre un café, se rendre à une estimation en dernière minute. Une constante : Benoît refuse les certitudes et les routes toutes tracées.

Portrait d’un homme énergique et enthousiaste, arrivé par hasard et resté par conviction.

(Portait rédigé par Hermine Pillet (écrivain rédacteur)

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