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Portrait de notre conseillère: Sandrine NGUYEN

Portrait de notre conseillère: Sandrine NGUYEN

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Conseillère immobilier, mais surtout dynamique professionnelle.

Arrivée il y a plus de huit ans, Sandrine explique d’une voix douce qu’ici, on se sent plutôt bien. Une équipe de vente qui a vu défiler les années sans que les visages ne changent. Phénomène rare dans un milieu où les conseillers se succèdent et se remplacent rapidement. Sandrine, elle, a décidé de rester. Pourtant, l’immobilier n’était pas la voie qu’elle avait choisie. Après une formation en coiffure, Sandrine ouvre son propre salon qu’elle gère pendant quatre ans, avant de le vendre pour rejoindre une autre boutique dont elle devient la responsable.

Une fibre esthétique, commerciale et relationnelle qu’elle continuera d’exercer dans l’immobilier, mais elle ne le sait pas encore. Sandrine est arrivée ici presque par hasard.

Avec les naissances de ses enfants, Sandrine se pose la question de poursuivre dans la coiffure. Son mari, lui, travaille dans la construction neuve, un secteur très spécifique qu’elle découvre lors de ses congés maternité. Supportant mal le manque d’occupation, elle s’emploie au dessin des plans. Un passe-temps qui la réjouit bien plus qu’elle ne l’aurait imaginé. Elle pressent qu’il est temps pour elle de passer à autre chose. Elle pose le pied dans l’immobilier en occupant un premier poste dans la construction neuve, pendant trois années. Son intérêt est vite aiguisé et Sandrine s’enthousiasme pour ce nouveau domaine auquel elle n’aurait jamais songé auparavant. Cependant, le secteur traverse une période délicate. Il lui faut trouver quelque chose d’autre. Son mari lui suggère de se tourner vers l’ancien, qui pourrait lui plaire. Il n’avait pas tort. À la suite d’une annonce pour un poste de commerciale, Sandrine se présente à l’agence Foch qu’elle intègre comme conseillère en vente. Une mission qui lui correspond tout à fait et dont elle ne se lasse pas depuis plus de huit ans. Formée à force de pratique, elle a su s’approprier les tenants et les aboutissants d’un métier devenu une passion.

L’ancien et le neuf, des savoir-faire qui se recoupent certes, mais « on ne cherche pas la même chose ». Les aspects techniques occupent une place très importante dans le neuf : il faut étudier les spécificités des terrains, par exemple ; réfléchir à l’implantation du bâti. Il faut s’assurer que l’adéquation entre le plan et la réalité soit possible. Le plus délicat reste la recherche de terrains, disponibles et constructibles. Sa préférence revînt rapidement aux maisons sur-mesure, explique la sémillante conseillère. Bien que le travail de l’ancien soit très différent, les compétences acquises dans le neuf lui sont toujours utiles aujourd’hui.

Bien avant la technicité, ce qui anime Sandrine c’est l’humain. Le conseil et l’accompagnement sont au cœur du métier de l’agent immobilier. Le service, avant toute chose. Les clients envisagent un projet mais surtout, ils expriment un besoin, souvent celui d’être assisté dans des démarches de plus en plus complexes. Sandrine est là pour simplifier les procédures. « C’est un vrai métier de vendre un bien, ça ne s’improvise pas » poursuit-elle. Les règlementations sont nombreuses, alors elle intervient pour que la transaction se passe dans les règles de l’art. Éclaircir ce qui est obscur ; démêler les confusions ; aborder tous les sujets même les plus fâcheux. Elle se doit de rendre la confiance accordée. Apporter un véritable service, dispenser un conseil complet, en somme, aller jusqu’au bout.

Puisqu’il s’agit d’un projet de vie, cela implique un lien personnel avec les clients. C’est aussi ce qui anime Sandrine. Les situations peuvent être difficiles, voire graves. « On ne sait jamais sur quel type de projet on tombe » : une famille s’agrandit, une autre traverse un deuil. Dans les situations les plus délicates, l’empathie est plus que nécessaire. Sandrine se souvient particulièrement d’un couple qu’elle a accompagné il y a quelques années : la femme est décédée entre la signature du compromis et l’acte de vente ; le mari, déboussolé, s’est alors adressé à elle pour l’informer du décès de sa conjointe et lui demander de l’aide. Il ne savait pas comment faire. Sandrine était sa seule interlocutrice et l’une des rares personnes présentes pour l’enterrement. Ce genre d’évènement ne peut laisser de marbre. Chaque situation est inédite. « C’est toujours une surprise. »

Bien avant la technicité, ce qui anime Sandrine, c’est l’humain. Le service avant toute chose.

Celle qui ne supporte pas les journées trop statiques, s’efforce d’être toujours dynamique. Elle en a besoin, les clients aussi. Il lui faut parfois un peu de patience mais Sandrine est adaptable ; indulgente s’il le faut. Réactive et rigoureuse, elle le répète : « Il faut que ça bouge ! » Une diligence alliée à un sens professionnel aigu : elle ne laisse rien en suspens. Et cela, pour la satisfaction du client. « C’est la base de la recommandation » rappelle celle qui déploie son réseau avec plaisir et aime garder le contact avec ceux qu’elle a accompagnés.

Quand elle n’est pas avec ses clients, Sandrine se consacre à ses enfants. Bien qu’ils soient grands, elle continue de s’en occuper : « Il y a toujours quelque chose à faire » souligne celle qui ne compte plus le temps passé à courir à droite et à gauche. Elle souhaite leur offrir un confort de vie dont elle a elle-même rêvé, mais surtout leur permettre de choisir les études qui les intéressent, quel qu’en soit le prix. Si Sandrine est arrivée dans l’immobilier par hasard, elle se souvient néanmoins d’un lointain désir de devenir architecte d’intérieur ou décoratrice. Des études bien trop onéreuses, malheureusement. Par défaut, elle choisit la coiffure mais y trouve tout de même son compte. En réfléchissant à son parcours, Sandrine se remémore ce premier attrait pour l’architecture, qui a sûrement joué dans le « hasard de l’immobilier». Créer un endroit où les gens se sentent bien : une ambition exaltante. Son goût pour le bâti perdure : les belles œuvres, les bâtiments historiques surtout. « Aujourd’hui, je vends de tout » continue Sandrine.

« Si le client à une bicoque, on la vend. Si c’est un appartement sur les toits, on le vend aussi. » L’ancienne gérante n’a jamais regretté d’avoir quitté la coiffure qu’elle affectionnait pourtant. Elle se souvient avec plaisir des compétitions auxquelles elle a participé : « Je me suis éclatée » lance-t-elle avant de poursuivre le récit des entrainements exigeants.

Sandrine est restée une compétitrice à sa manière. Une dimension intrin- sèque au métier, exercée dans un esprit bon enfant. Un esprit d’équipe qui lui correspond et qu’apprécie celle qui a aussi connu la solitude lorsqu’elle était gérante de son propre salon. Il lui fallait davantage de relationnel, la voilà servie. Une ambiance légère et enthousiaste qu’elle affectionne : la compétition demeure mais elle se fait de manière respectueuse, avec la conscience de faire partie d’une équipe et cela change tout. Elle souligne la grande liberté offerte à chacun et qui contribue, selon elle, aux excellents résultats. Chacun procède à sa manière, selon ses talents et ses inclinations. Il reste bien-sûr des difficultés et des défis. En premier lieu, un marché qui se durcit et auquel il faut s’adapter. Une période où les choses peuvent rester longuement immobiles, ce qui ne convient pas à notre conseillère adepte du mouvement. Deux solutions : trouver le temps long ou se remettre en question.

Tantôt médiateur patient, tantôt auditeur à l’écoute, elle constate aussi que son métier se situe à la confluence de multiples professions. Et puisque les talents sont variés dans l’équipe, Sandrine s’appuie beaucoup sur une collaboration nécessaire : il y a les réunions hebdomadaires, pour faire le point sur les dossiers en cours, mais il y a aussi les échanges informels, dans le bureau, entre deux visites. Il est bon de recevoir un éclairage sur un projet délicat.

Le fonctionnement de l’équipe, aux yeux de Sandrine, procède d’un savant mélange entre le collectif et l’individuel. Elle qui a souvent appris et travaillé seule, a dû s’adapter à ce jonglage permanent : « Chacun travaille pour lui mais on est obligé de partager pour que ça fonctionne. » Au départ, c’est avec une légère appréhension qu’elle a intégré cette équipe composée de caractères tranchés, mais elle a su y trouver une place singulière. Elle apprécie la franchise qui règne entre les conseillers : « on se dit les choses » et ça passe. Il faut du dialogue et de la réactivité. Un grand respect, aussi.

L’aboutissement de toutes les tâches entreprises – des plus réjouissantes aux plus ingrates – intervient avec la signature de la vente chez le notaire : un moment de joie qui marque la finalisation d’un projet. L’aboutissement d’une mission menée avec soin. Certes les efforts ne sont pas toujours salués : « Parfois on est vu comme des ouvreurs de portes » ou bien les exigences du client s’avèrent démesurées. En tant que négociateur, il faut savoir s’imposer et fixer les règles. Sandrine le sait, c’est au conseiller lui-même de prouver sa valeur et de démentir les aprioris.

 Avec l’expérience, elle a su s’extraire de la précipitation pour se consacrer à ce qui importe vraiment. Elle constate qu’une plus grande fermeté n’altère pas la qualité de la confiance, au contraire. En cela, la rencontre avec le client est essentielle puisqu’elle permet de saisir son projet, d’en comprendre les enjeux et de récolter toutes les informations nécessaires. Sans ces éléments, Sandrine ne peut pas avancer. La fiabilité et l’expertise sont cruciales pour la conseillère qui met un point d’honneur à être efficace et réaliste, fine et précise, ce qui ne l’empêche pas d’être également très instinctive.

La plus grande marque de reconnaissance qu’elle reçoit, ce sont les remerciements. Lorsqu’un client est satisfait et plein de gratitude pour l’investissement et le travail déployé, elle se sent fière. L’objectif reste bien sûr l’aboutissement d’un projet mais « notre métier nous embarque souvent bien au-delà » achève Sandrine. Les exemples ne manquent pas.

Sandrine se souvient de toutes les personnes accompagnées. Certaines l’ont davantage émues ; avec d’autres, un lien solide s’est établi. Pour ne rien oublier, elle tient à jour son petit carnet dans lequel elle consigne les noms et les adresses pour envoyer quelques mots de temps à autres. De petites attentions qui rendent les relations agréables, vraies et paisibles.

 

Portrait d’une femme déterminée et efficace, qui se donne comme objectif de rendre service sans traîner.

(Portait rédigé par Hermine Pillet (écrivain rédacteur)

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